Édition 2019

Personnes conférencières • Speakers • Personas oradoras

 
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Carmen Cariño Trujillo

Pensadora y activista anticolonial y decolonial. Carmen Cariño Trujillo nació y se crió en una familia campesina / mixteca en México. Es socióloga, maestra en Desarrollo Rural y doctora en Ciencias Antropológicas por la Universidad Autónoma Metropolitana (UAM). Estudiante de la Escuelita Zapatista. Actualmente es profesora-investigadora de la UAM-Azcapotzalco. Participa en espacios colectivos de mujeres indígenas y campesinas que luchan por la tierra y el territorio en México

Penseure et activiste anticoloniale et décoloniale. Carmen Cariño Trujillo est née et a grandi au Mexique dans une famille paysanne / mixtèque. Elle est sociologue, maître en développement rural et docteure en sciences anthropologiques de l'Université Autonome Métropolitaine (UAM). Étudiante de la Petite École Zapatiste (Escuelita Zapatista). Elle est actuellement professeure-chercheure à l'UAM-Azcapotzalco et elle participe aux espaces collectifs des femmes autochtones et paysannes qui se battent pour la terre et le territoire au Mexique.

Anticolonial and decolonial thinker and activist. Carmen Cariño Trujillo was born and raised in a peasant / Mixtec family in Mexico. She is a sociologist, with a masters in Rural Development and a doctorate in Anthropological Sciences from the Metropolitan Autonomous University / Universidad Autónoma Metropolitana (UAM). Student of the Zapatista Little School (Escuelita Zapatista). She is currently a professor-researcher at the UAM-Azcapotzalco and she participates in collective spaces of indigenous and peasant women who fight for land and territory in Mexico.

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Kijâtai-Alexandra Veillette-Cheezo

Kijâtai-Alexandra Veillette-Cheezo est né à Val-d'Or d'une mère allochtone et d'un père autochtone. Ayant étudié en cinéma au niveau collégial, elle fait partie aujourd'hui de l'équipe du Wapikoni mobile, une OBNL travaillant avec des communautés autochtones pour réaliser des courts métrages et retrouver une souveraineté narrative. Elle est présentement en processus de réappropriation culturelle et sensibilise aux réalités autochtones à travers des séminaires, colloques, ateliers et festivals.

Kijâtai was born in Val-d'Or to a non-indigenous mother and indigenous father. Having studied cinema at college level, she is now part of the team of Wapikoni Mobile, an NGO working with Indigenous communities to make short films and regain narrative sovereignty. She is currently in the process of cultural reappropriation and raising awareness of indigenous realities through seminars, conferences, workshops and festivals.

Kijâtai Nació en Val-d'Or de madre no indígena y de padre indígena. Después de haber estudiado cine a nivel universitario, ahora es parte del equipo de Wapikoni Mobile, una organización sin fines de lucro que trabaja con comunidades indígenas para hacer cortometrajes y recuperar la soberanía narrativa. Actualmente se encuentra en el proceso de reapropiación cultural y de concientización sobre las realidades indígenas a través de seminarios, conferencias, talleres y festivales.

Crédit Photo : Olivia Thomassie

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Cécile Kouyouri

Issue de la nation Kali'na, Cécile Kouyouri est la Cheffe coutumière du village de Bellevue en Guyane française depuis 1997. La cheffe coutumière est en charge de représenter la loi et la sagesse dans sa communauté. Elle joue le rôle de garante de la transmission de la culture au sein de son village. Elle représente son village face aux élus locaux. Elle est la première femme à avoir été élue à ce poste. Sous son autorité, elle a obtenu de l’État au profit des habitants du village de Bellevue YANU, une zone de droits d’usage collectif (zduc) et une concession collective d’une superficie de 40 000 hectares de terre.

From the Kali'na nation, Cécile Kouyouri is the customary head of the village of Bellevue in French Guiana since 1997. The customary chief is in charge of representing law and wisdom in her community. She plays the role of guarantor of the transmission of culture within her village. She represents her village in front of the local elected officials. She is the first woman to be elected to this position. Under her authority, she obtained from the State a zone of collective use rights (zduc) and a collective concession of an area of ​​40,000 hectares of land, for the benefit of the inhabitants of the village of Bellevue YANU.

Proveniente de la nación Kali'na, Cécile Kouyouri es la jefa tradicional del pueblo de Bellevue en la Guayana Francesa desde 1997. La jefa tradicional se encarga de representar la ley y la sabiduría en su comunidad. Ella desempeña el papel de garante de la transmisión de la cultura dentro de su pueblo. Ella representa a su pueblo frente a los funcionarios locales elegidos. Ella es la primera mujer en ser elegida para este puesto. Bajo su autoridad, obtuvo del Estado en beneficio de los habitantes de la aldea de Bellevue YANU, una zona de derechos de uso colectivo (zduc) y una concesión colectiva de un área de 40,000 hectáreas de tierra.

Le Centre de la francophonie des Amériques apporte un soutien pour faciliter la participation de l'experte invitée Cécile Kouyouri grâce au programme Mobilité dans les Amériques.

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Ana Lucia Ixchiu Hernandez

Mujer indígena maya K´iche, arquitecta, gestora cultural, periodista y feminista diversa. Nacida en Totonicapán Guatemala, Ana Lucia Ixchiu Hernandez es una mujer indígena poco convencional, transgresora y enemiga del estereotipo culturalista.

Femme autochtone maya K'iche, architecte, agente culturelle, journaliste et féministe diversifiée. Née à Totonicapán au Guatemala, Ana Lucia Ixchíu Hernandez est une femme autochtone non conventionnelle, transgresseuse et ennemie du stéréotype culturaliste.

Mayan indigenous K'iche woman, architect, cultural manager, journalist and diverse feminist. Born in Totonicapán Guatemala, Ana Lucia Ixchíu Hernandez is an unconventional indigenous woman, transgressor and enemy of the culturalist stereotype.

Crédit Photo : Cobertura Colaborativa Ella

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Hélène Nicolas

Hélène Nicolas est Maîtresse de Conférences en anthropologie à l’Université Paris8 et au Laboratoire d’Etudes de Genre et de Sexualité (LEGS). Elle codirige le master d’études de genre. Ses recherches portent sur le système de genre kanak (Kanaky-Nouvelle-Calédonie) et l’impact de la colonisation sur ce dernier.

Hélène Nicolas is a lecturer in Anthropology at Paris8 University and at the Laboratory of Gender and Sexuality Studies (Laboratoire d’Études de Genre et de Sexualité - LEGS). She co-directs the master's degree in gender studies. Her research focuses on the Kanak gender system (Kanaky-New Caledonia) and the impact of colonization on it.

Hélène Nicolas es maestra de conferencias en antropología en la Universidad Paris8 y en el Laboratorio de Estudios de Género y de Sexualidad (LEGS). Ella co-dirige la maestría en estudios de género. Sus investigaciones son sobre el sistema de género Kanaky (Kanaky-Nueva Caledonia) y el impacto de la colonización en él.

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Élizabeth Diane Labelle

Élizabeth Diane Labelle cumule plus de 35 ans d’expérience dans le monde de l’éducation comme enseignante, consultante, administratrice et présentatrice. Elle milite pour les droits des personnes bi-spirituelles (Two-spirit) depuis les années 1976, et est fréquemment invitée comme conférencière et chercheure sur cette question.

Elizabeth Diane Labelle has more than 35 years of experience in the world of education as a teacher, consultant, administrator and speaker. She has been advocating for the rights of Two-spirit people since 1976, and is a frequent speaker and researcher on this issue.

Elizabeth Diane Labelle tiene más de 35 años de experiencia en el mundo de la educación como profesora, consultora, administradora y presentadora. Ella ha promovido los derechos de las personas dos espíritus desde 1976, y es una oradora e investigadora frecuente en este tema.

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Sharie Neira Ríos

Sharie Neira Rios est péruvienne, née à Lima en 1990. Elle a une licence en Communications à la Pontificia Universidad Catolica del Peru et elle a un Master de Sociologie et Anthropologie avec spécialité de Genre, changement social et politique de l’Université Paris 7. Comme sujet de mémoire elle travaille sur l’emprisonnement des femmes lequel elle analyse à travers l’axe du travail notamment à partir de la sortie de la loi « prisons productives » en 2017. Elle a choisi ce sujet de recherche parce que pendant l’année 2016 et 2017 elle a donné des ateliers dans une prison pour femmes à Lima à travers l’association Nuwa, où elle est cofondatrice.

Sharie Neira Ríos es peruana, nacida en Lima en 1990. Es licenciada en Comunicaciones de la Pontificia Universidad Católica del Perú y tiene una maestría en Sociología y Antropología con una especialidad en Género y Cambio Social y Político de la Universidad de París 7. En su tesis de maestría, ella trabaja en el encarcelamiento de mujeres analizado a través del eje del trabajo, particularmente en relación a la salida de la ley "prisiones productivas" en 2017. Ella eligió este tema de investigación porque durante los años 2016 y 2017 dio talleres en una prisión para mujeres en Lima a través de la asociación Nuwa, que ella co-fundó.

Sharie Neira Rios is a Peruvian, born in Lima in 1990. She holds a degree in Communications from the Pontificia Universidad Catolica del Peru and a Master's degree in Sociology and Anthropology with a specialty on Gender and Social and Political Change from Paris 7 University. For her master’s thesis project, she works on the imprisonment of women which she analyzes through the axis of work, in particular in relation to "productive prisons" law adopted in 2017. She chose this subject of research because during the year 2016 and 2017 she gave workshops in a women's prison in Lima through the association Nuwa, co-founded by her.

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Nancy Crépeau

Nancy Crépeau est candidate au doctorat en éducation à l’Université d’Ottawa, en didactique des langues secondes. D’appartenances algonquine, crie et québécoise, elle s’intéresse à l’enseignement de la lecture auprès des enfants des Premières Nations, en prenant en compte leurs répertoires langagiers et leurs cultures d’appartenance.

Nancy Crépeau is a doctoral candidate in education at the University of Ottawa, in second language teaching. From Algonquin, Cree and Québecois backgrounds, she is interested in teaching reading to First Nations children, taking into account their linguistic repertoire and their cultural identity.

Nancy Crépeau es candidata doctoral en educación en la Universidad de Ottawa, en la enseñanza de segundas lenguas. De origen algonquino, cree y quebequense, está interesada también en enseñar aptitudes de lectura a los niños y niñas de las Primeras Naciones, teniendo en cuenta sus repertorios lingüísticos y sus culturas de pertenencia.

Crédit photo : Marie-Joséphine Ibanda Mfuka

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Emmanuelle Piedboeuf

Emmanuelle Piedboeuf termine sa maîtrise à l’Institut national de la recherche scientifique. Elle y a travaillé en partenariat avec le Réseau DIALOG et le Centre d'amitié autochtone de Val-d'Or, pour mieux cerner les spécificités de la démarche de mobilisation des connaissances lorsqu’elle est développée en contextes autochtones.

Emmanuelle Piedboeuf is finishing her master degree at the Institut national de la recherche scientifique. She worked there in partnership with the DIALOG Network and the Val-d’Or Friendship Center, to better understand the specifics of the knowledge mobilization process when it is developed in indigenous contexts.

Emmanuelle Piedboeuf está terminando su maestría en el Institut national de la recherche scientifique. Allí, trabajó con la Red DIALOG y el Centro de amistad indígena de Val-d’Or, para comprender mejor las especificidades del proceso de movilización del conocimiento cuando se desarrolla en contextos indígenas.

Crédit Photo : Marlène Pominville-Racette

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Priscilla Bosum Martin-H.

Priscilla Bosum Martin-Hunter is a Cree Woman from the Oujé-Bougoumou Cree Nation. She is a survivor of domestic violence. After 8 years of an abusive relationship she decided to leave her former partner. Her daughters were 2 and 4 years old. This traumatic experience gave her the realization that she needed to take care of herself and be a role model for her girls. Years later, she is happily married with more children and has graduated from college and is a few months short of attaining her diploma in Museum Studies. She also works as a simultaneous translator - and had the privilege of translating the first speech to the Canadian parliament in her language.

Priscilla Bosum Martin-Hunter est une femme crie de la nation Cris Oujé-Bougoumou. Elle est survivante de violence conjugale. Après 8 ans dans une relation abusive, elle a décidé de quitter son ancien partenaire. Ses filles avaient 2 et 4 ans. Cette expérience traumatisante lui a fait comprendre qu'elle devait prendre soin d’elle-même et être un modèle pour ses filles. Des années plus tard, elle s’est mariée et a eu d’autres enfants. Elle a terminé ses études collégiales et obtiendra dans quelques mois son diplôme en muséologie. Elle travaille également comme traductrice simultanée et a eu le privilège de traduire le premier discours au parlement canadien dans sa langue.

Priscilla Bosum Martin-Hunter es una mujer cree de la Nación Cree Oujé-Bougoumou. Ella es una sobreviviente de violencia doméstica. Después de 8 años en una relación abusiva, decidió dejar a su ex pareja. Sus hijas tenían 2 y 4 años. Esta experiencia traumática le hizo darse cuenta de que necesitaba cuidarse a sí misma y ser un modelo para sus niñas. Años más tarde, está felizmente casada y tiene más hijos. Se graduó del College (estudios post-secundaria) y le faltan pocos meses para obtener su diploma en museología. También trabaja como traductora simultánea, y tuvo el privilegio de traducir el primer discurso al parlamento canadiense en su idioma.

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Widia Larivière

D’origine Anishnabe, Widia Larivière est éducatrice aux droits humains et aux droits des peuples autochtones. Elle a travaillé pendant huit ans chez Femmes Autochtones du Québec, a co-initié la mobilisation québécoise du mouvement Idle No More et a cofondé Mikana, un organisme de sensibilisation sur les réalités autochtones au Canada. Cinéaste et auteure à ses heures, elle a également coréalisé deux courts-métrages avec le Wapikoni mobile et a contribué à plusieurs ouvrages. Son engagement lui a valu plusieurs distinctions : elle est notamment colauréate du prix Ambassadeur de la conscience d’Amnistie Internationale (2017).

Widia Larivière is of Anishnabe descent and she is an educator in human rights and the rights of indigenous peoples,. She worked for eight years at Quebec Native Women, co-initiated the Quebec mobilization of the Idle No More movement, and co-founded Mikana, an organization that raises awareness about Indigenous realities in Canada. A filmmaker and author, she has also co-directed two short films with Wapikoni Mobile and contributed to several books. Her commitment has earned her several recognitions: she is the recipient of the Amnesty International's Ambassador of Conscience Award (2017).

De origen Anishnabe, Widia Larivière es una educadora en derechos humanos y derechos de los pueblos indígenas. Trabajó durante ocho años en la organización Mujeres indígenas del Québec, co-inició la movilización de Quebec del movimiento Idle No More y cofundó Mikana, una organización que enseña y sensibiliza sobre las realidades indígenas en Canadá. Cineasta y escritora, también co-dirigió dos cortometrajes con Wapikoni Mobile y colaboró en varios libros. Sus implicaciones le han valido varios honores: ha recibido el Premio Embajadora de Conciencia de Amnistía Internacional (2017).

Crédit photo : Radio-Canada - Laurence Noisi

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Madie Ottawa

Madie Ottawa est une jeune femme Atikamekw originaire de la communauté de Manawan, située dans le nord de Lanaudière. Elle est titulaire d’un DEC en Sciences Humaines profil Premières Nations de l’Institut Kiuna, et est présentement étudiante en science politique à l’UQAM. Depuis son jeune âge, elle a toujours su qu’elle allait travailler pour et avec sa communauté et sa nation afin de les aider à améliorer la qualité de vie au sein de celles-ci.

Madie Ottawa is a young Atikamekw woman from the community of Manawan, located in the north of Lanaudière. She holds a DEC in Humanities with a First Nations profile of the Kiuna Institute, and is currently a student in political science at UQAM. From an early age, she always knew that she would work for and with her community and her nation to help improve the quality of life in these communities.

Madie Ottawa es una joven atikamekw de la comunidad de Manawan, ubicada en el norte de Lanaudière. Tiene un diploma colegial (DEC) en Humanidades en el perfil Primeras Naciones del Instituto Kiuna, y actualmente es estudiante de ciencias políticas en la UQAM. Desde una temprana edad, siempre supo que trabajaría para y con su comunidad y su nación para ayudar a mejorar la calidad de vida en estas comunidades.

Crédit photo : Collège Kiuna

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Jomarie Einish

Jomarie Einish is two spirited, and identifies as "They/Them". They are a Cree-Naskapi of Northern Quebec from two communities Whapmagoostui and Kawawachikamache. Jomarie is currently studying Political Science at Nipissing University. They are passionate about human rights and building a better world for the youth.

Jomarie Einish est une personne bi-spirituelle (Two-spirit) et s’identifie avec les pronoms “They/Them” (Ille / Iel). Iel est Cree-Naskapi du Nord-du-Québec issu-e des communautés Whapmagoostui et Kawawachikamache. Jomarie étudie actuellement en Science Politique à l'Université Nipissing et est passionné-e par les droits humains et par la construction d'un monde meilleur pour les jeunes.

Jomarie Einish es "Two-Spirit" y se identifica con los pronombres "They/ Them" (Élle). Es Cree-Naskapi del Norte-de-Québec de las comunidades Whapmagoostui y Kawawachikamache. Jomarie actualmente estudia Ciencias Políticas en la Universidad de Nipissing y es una persona apasionada de los derechos humanos y de construir un mundo mejor para los jóvenes.

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Maïtée Labrecque-Saganash

Originaire de Waswanipi, communauté crie d’Eeyou Istchee, Maïtée Labrecque-Saganash est chroniqueuse au Journal Métro Montréal et au magazine The Nation. Militante pour les droits des autochtones, elle s’implique aussi sur son territoire, en travaillant au Cree Health Board comme assistante de recherche et technicienne en communication.

A native of Waswanipi, Cree community of Eeyou Istchee, Maïtée Labrecque-Saganash is a columnist for the Montreal Metro Journal and The Nation magazine. An activist for Indigenous rights, she is also involved in her territory, working at the Cree Health Board as a research assistant and communication technician.

Originaria de Waswanipi, comunidad Cree de Eeyou Istchee, Maïtée Labrecque-Saganash es columnista del periódico Montreal Metro y de la revista The Nation. Es una activista por los derechos de las personas indígenas y también está involucrada en su tierra, trabajando en la Junta de salud cree (Cree Health Board) como asistente de investigación y técnica de comunicación.

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Leila Celis

Leila Celis est professeure au département de sociologie de l’UQAM depuis 2013. Ses recherches portent sur les rapports de pouvoir, les crimes de masse et la résistance des survivant.e.s, questions qu’elle aborde à travers de la sociologie de la violence et des théories féministes intersectionnelles.

Leila Celis es profesora en el departamento de sociología de la UQAM desde 2013. Sus investigaciones se centran en las relaciones de poder, los delitos de masas y la resistencia de las y los sobrevivientes, preguntas que ella aborda a través de la sociología de la violencia y de las teorías feministas intersectoriales.

Leila Celis is a professor in UQAM’s sociology department since 2013. Her research focuses on power relations, mass crimes and survivors resistance, questions she addresses through the sociology of violence and through intersectional feminism theories.

Credit photo : Émilie Tournevache

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Ludivine Tomasso

Ludivine Tomasso est doctorante en science politique avec une concentration en études féministes à l’UQAM. Elle travaille pour sa thèse sur les actions collectives des groupes de femmes/féministes au Pérou et au Guatemala en ce qui concerne la lutte contre l’impunité entourant les violences sexuelles et reproductives ayant eu lieu pendant les conflits armés. Dans le cadre de sa thèse et comme co-organisatrice de ce colloque, elle souhaite explorer le processus de construction de connaissance en contexte colonial. Ce colloque représente la mise en pratique cette volonté de questionner et d'ouvrir de nouveaux espaces de réflexions entre recherche et activisme féministe intersectionnel.

Ludivine Tomasso is a doctoral student in political science with a concentration in feminist studies at UQAM. She is studying collective actions of women's / feminist groups in Peru and Guatemala in the fight against impunity surrounding sexual and reproductive violence. As part of her thesis and as co-organizer of this symposium, she wants to explore the process of knowledge building in colonial context. This conference represents the implementation of this desire to question and open up new spaces for reflection between research and feminist intersectional activism.

Ludivine Tomasso es estudiante de doctorado en ciencias políticas con concentración en estudios feministas en la UQAM. Está estudiando acciones colectivas de grupos de mujeres / feministas en Perú y Guatemala en la lucha contra la impunidad en torno a la violencia sexual y reproductiva. Como parte de su tesis y como coorganizadora de esta conferencia, ella quiere explorar el proceso de construcción de conocimiento en el contexto colonial. Este simposio representa la implementación de este deseo de cuestionar y abrir nuevos espacios de reflexión entre investigación y activismo feminista interseccional.

Crédit photo : Delphine Delamare

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Véronica Gomes

Véronica Gomes est doctorante en sociologie avec concentration en études féministes à l’Université du Québec à Montréal ainsi que coordonnatrice scientifique du Réseau québécois en études féministes. En tant que co-organisatrice du colloque, elle s’inscrit dans un parcours collaboratif avec des femmes des Premières Nations pour plusieurs projets. Dans le cadre de sa démarche doctorale, elle réfléchit entre autres aux injustices épistémologiques au sein du milieu académique et à son positionnement en tant que chercheure.

Véronica Gomes is a doctoral student in sociology with a concentration in feminist studies at the University of Québec in Montréal and scientific coordinator of the Quebec Network of Feminist Studies. As a co-organizer of the symposium, she takes part in a collaborative path with First Nations women for several projects. As part of her doctoral approach, she reflects on epistemological injustices within the academic community and her position as a researcher.

Véronica Gomes es una estudiante de doctorado en sociología con especialización en estudios feministas en la Universidad de Québec à Montréal y coordinadora científica de la Red de Estudios Feministas de Quebec. Como coorganizadora del simposio, ella tiene una trayectoria de colaboración con mujeres de las Primeras Naciones para varios proyectos. En su enfoque doctoral, ella reflexiona sobre las injusticias epistemológicas que existen dentro de la comunidad académica y de su posición como investigadora.

Credit photo : Axel E. Renteria

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Tania Larivière

Tania Larivière is a young Anishinabe woman who was raised within Eenou culture. As an indigenous youth advocate, she strives to bridge the intergenerational gap caused by the modern indigenous experience and traditions passed down through ancestral knowledge. Currently, she works for the Cree Nation Youth Council as their current Special Projects Officer. Tania is also a co-organizer of the symposium.

Tania Larivière est une jeune femme d’origine Anishinabe élevée dans la culture Eenou. En tant que militante pour la jeunesse autochtone, son but est de faire les liens entre les générations et de faire la conciliation entre l’expérience moderne d’être autochtone et les traditions issues de savoirs ancestraux. Présentement, elle travaille pour le Conseil des jeunes cris d’Eeyou Istchee (Cree Nation Youth Council) en tant que Chargée de projets spéciaux. Tania est également une co-organisatrice du colloque.

Tania Larivière es una joven de origen Anishinabe criada en la cultura Eenou. Como activista para la juventud indígena, se esfuerza por cerrar la brecha intergeneracional y conciliar la experiencia moderna de ser indígena con las tradiciones transmitidas a través del conocimiento ancestral. Actualmente, trabaja para el Consejo juvenil de los cris de Eeyou Istche (Cree Nation Youth Council) como Oficial de Proyectos Especiales. Tania es tambien co-organisadora del simposio.

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Margaret Kovach

Margaret Kovach (Sakewew p'sim iskwew) is of Plains Cree and Saulteaux ancestry and a member of Pasqua First Nation located in southern Saskatchewan. She is currently a Full Professor at the University of Saskatchewan. Dr. Kovach's work focuses on Indigenous research methodologies and Indigenous post-secondary education. Her publications and oracy scholarship have had a significant impact in her field and she is nationally and internationally recognized as a leading methodologist in the area of Indigenous methodologies. Dr. Kovach has been involved in Truth and Reconciliation Efforts as it impacts post-secondary education, Indigenous research, and Indigenous scholarship. Recently, her scholarship focuses on upholding and supporting Indigenous Faculty in post-secondary environments. Dr. Kovach is a Member of the College of the Royal Society of Canada.

Margaret Kovach (Sakewew p'sim iskwew) est d'ascendance crie des Plaines et saulteaux et fait partie de la Première Nation Pasqua située dans le sud du Saskatchewan. Elle est actuellement professeure titulaire à l'Université de Saskatchewan. Les travaux de Dre Kovach portent sur les méthodologies de recherche autochtones et l'enseignement postsecondaire autochtone. Ses publications ainsi que son expertise en oralité ont eu un impact significatif dans son domaine et elle est reconnue à l'échelle nationale et internationale en tant que éminente méthodologiste dans le domaine des méthodologies autochtones. La Dre Kovach a participé aux efforts de Vérité et Réconciliation, ces derniers ayant des répercussions sur l’enseignement postsecondaire, la recherche autochtone et expertise autochtone. Récemment, son travail porte sur le maintien et le soutien du corps professoral autochtone dans les environnements postsecondaires. La Dre Kovach est membre du Collège de la Société royale du Canada.

Margaret Kovach (Sakewew p'sim iskwew) es de ascendencia cree de los llanos (Plains Cree) y saulteaux y es miembra de la Primera Nación de Pasqua ubicada en el sur de Saskatchewan. Actualmente es profesora titular en la Universidad de Saskatchewan. El trabajo de la Dr. Kovach se centra en las metodologías de investigación indígena y en la educación postsecundaria indígena. Sus publicaciones y su erudición en oralidad han tenido un impacto significativo en su campo y es reconocida nacional e internacionalmente como una metodóloga líder en el área de las metodologías indígenas. La Dr. Kovach ha estado involucrada en los esfuerzos de Verdad y Reconciliación, ya que afectan la educación postsecundaria, la investigación indígena y la erudición indígena. Recientemente, sus investigaciones se enfocan en defender y apoyar a los profesores y profesoras indígenas en el ambiente postsecundario. La Dr. Kovach es miembra del Colegio de la Royal Society de Canadá.

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Suzy Basile

Suzy Basile est originaire de la communauté Atikamekw de Wemotaci. Elle a une formation académique, un baccalauréat et une maîtrise en anthropologie. Elle est professeure à l’École d’études autochtones de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), au campus de Val-d’Or. Elle est membre du comité directeur du Réseau de recherche et de connaissances relatives aux peuples autochtones (DIALOG). Elle a aussi mis en place un Laboratoire de recherche sur les enjeux relatifs aux femmes autochtones – Mikwatisiw à l’UQAT en 2017. Dr. Basile s’est impliquée dans le processus de développement du Protocole de recherche de l’Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador (2005, 2014). Elle a développé les Lignes directrices en matière de recherche avec les femmes autochtones publiées par l’Association des femmes autochtones du Québec en 2012. Elle a participé activement à la création de la Boîte à outils des principes de la recherche en contexte autochtone: éthique, respect, équité, réciprocité, collaboration et culture parue en 2014 (1re édition) et en 2018 (2e édition).

Suzy Basile comes from the Atikamekw community of Wemotaci, Quebec, Canada. She has a Bachelor degree and a Masters degree in Anthropology. She is professor with the School of Indigenous Studies the Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), at the Val-d’Or campus. She is member of the steering committee of DIALOG Aboriginal Peoples Research and Knowledge Network. She also set up a Research Laboratory on Indigenous Women Issues - Mikwatisiw at UQAT in 2017. Dr. Basile was involved in the development process of the Assembly of First Nations of Quebec and Labrador’s Research Protocol (2005, 2014). She developed the Guidelines for Research with Aboriginal Women for Quebec Native Women Association published in 2012. She actively participated in the creation of the Toolkit of Research Principles in Aboriginal Context: Ethics, Respect, Fairness, Reciprocity, Collaboration and Culture published in 2014 (1st edition) and 2018 (2nd edition).

Suzy Basile es de la comunidad Atikamekw de Wemotaci, Québec, Canada. Ella tiene una formación académica, una licenciatura y una maestría en antropología. Es profesora en la Escuela de Estudios Indígenas de la Universidad de Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), en el campus de Val-d'Or. Es miembro del comité directivo de la Red de investigación y conocimientos de los Pueblos Indígenas (DIALOG). También estableció un laboratorio de investigación sobre temas relacionados a las mujeres indígenas – Mikwatisiw en la UQAT en 2017. La Dra. Basile se ha implicado en el proceso de desarrollo del Protocolo de Investigación de la Asamblea de Primeras Naciones del Quebec y del Labrador (2005, 2014). Desarrolló igualmente las Líneas directrices para la investigación con mujeres indígenas publicadas por la Asociación de mujeres indígenas de Quebec en 2012. Ha participado activamente en la creación del Conjunto de herramientas de principios de investigación en contexto indígena: ética, respeto, equidad, reciprocidad, colaboración y cultura, publicado en 2014 (1ª edición) y 2018 (2ª edición).

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Linda L. Shecapio

Linda L. Shecapio as her legal name and ‘kashkuwin iskweu’ meaning ‘Cloud Woman’ as her spirit name was born and raised in Eeyou Istchee. Linda is a wife, mother, recently grandmother, sister, and an aunty. She resides and is a member of the Cree Nation of Mistissini. Linda is a proud, passionate and a vibrant iiyiyiu/iinuu woman. She has a Bachelor of Arts degree from Carleton University with a major in Political Science and a concentration in Public Affairs and Policy Analysis. In her work experience, she held various positions in project and program management of the corporate domain. Linda is currently the President to the Cree Women of Eeyou Istchee Association (CWEIA). Her heart’s desire is for the wellbeing and healing for her people. Linda leads a confident life filled with self-love, self-respect, and self-acceptance and she is a visionary and an empowering leader. More importantly, she holds close to her heart of the values and grounded with the knowledge of iiyiyiu/iinuu way of thinking, being and way of life and she speaks her Cree language. In general, Linda considers herself as a catalyst, advocate, activist and a knowledge-keeper in holding the high esteem of her iiyiyiu/iinuu identity, language, culture and way of life.

Linda L. Shecapio, nom légal, et «kashkuwin iskweu» signifiant «femme nuage», son nom spirituel, est née et a grandi à Eeyou Istchee. Linda est une épouse, une mère, une grand-mère depuis récemment, une sœur et une tante. Elle réside et fait partie de la nation crie de Mistissini. Linda est une femme iiyiyiu / iinuu fière, dynamique, passionnée. Elle est titulaire d'un baccalauréat ès arts (B.A.) de l'Université Carleton avec une majeure en sciences politiques et une concentration en affaires publiques et analyse des politiques. Au cours de son expérience professionnelle, elle a occupé divers postes dans la gestion de projets et de programmes du domaine corporatif. Linda est actuellement présidente de l'Association des femmes cries d'Eeyou Istchee (CWEIA). Elle tient à cœur le bien-être et la guérison de son peuple. Linda mène une vie confiante remplie d'amour-propre, de respect de soi et d'acceptation de soi et elle est une dirigeante visionnaire et émancipatrice. Principalement, elle reste attachée à ses valeurs et demeure ancrée dans la connaissance iiyiyiu / iinuu, leur mode de pensée et leur mode de vie et elle parle sa langue crie. En général, Linda se considère comme une force catalysatrice, une activiste, une militante et une gardienne de la connaissance qui tient en haute estime son identité, sa langue, sa culture et son mode de vie iiyiyiu / iinuu.

Linda L. Shecapio, nombre legal, y "kashkuwin iskweu", que significa "mujer nube", nombre espiritual, nació y creció en Eeyou Istchee. Linda es una esposa, una madre, una abuela desde recientemente, una hermana y una tía. Ella vive y es parte de la Nación Cree de Mistissini. Linda es una mujer iiyiyiu / iinuu vibrante apasionada y orgullosa de su cultura. Tiene una Licenciatura en Artes (B.A.) de la Universidad de Carleton con una especialización en Ciencias Políticas y una concentración en Asuntos Públicos y Análisis de Políticas. Durante su experiencia profesional, ha ocupado diversos cargos en gestión de proyectos y programas corporativos. Linda es actualmente Presidenta de la Asociación de Mujeres Cree de Eeyou Istchee (CWEIA). Ella se preocupa por el bienestar y la curación de su gente. Linda lleva una vida segura llena de amor propio, autoestima y autoaceptación y es una líder visionaria y empoderadora. Principalmente, ella es comprometida a sus valores y permanece anclada en el conocimiento iiyiyiu / iinuu, en términos de forma de pensar y de forma de vida e igualmente habla su idioma Cree. En general, Linda se ve a sí misma como una catalizadora, defensora, activista y guardiana del conocimiento que tiene en alta estima su identidad, idioma, cultura y estilo de vida iiyiyiu / iinuu.

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Viviane Michel

Viviane Michel est une femme Innue originaire de la communauté de Maliotenam au Québec. D'abord élue vice-présidente de Femmes Autochtones du Québec (FAQ) en 2010, depuis 2012 elle en est la présidente. Bilingue (français et Innu) et intervenante de formation, Viviane a travaillé auprès de femmes autochtones victimes de violence et auprès des survivant-e-s des pensionnat Indiens. Elle a à coeur de défendre les droits des femmes autochtones auprès des diverses instances gouvernementales où elle siège, tout en sensibilisant la population à ces enjeux à travers des conférences données partout à travers le Québec.

Viviane Michel is an Innu woman from the community of Maliotenam in Quebec. First elected vice-president of Native Women of Quebec (FAQ) in 2010, since 2012 she is the president. Bilingual (French and Innu) and with a social work background, Viviane has worked with Indigenous women victims of violence and with Residential Schools survivors. She is committed to defending the rights of Indigenous women in the various government bodies where she sits, while at the same time raising awareness of these issues through conferences held throughout Quebec.

Viviane Michel es una mujer innu de la comunidad de Maliotenam en Quebec. Primero elegida vicepresidenta de Mujeres Nativas de Quebec (FAQ) en 2010, ella es desde 2012 la presidenta del organismo. Bilingüe (francés y Innu) y trabajadora social de formación, Viviane ha trabajado con mujeres indígenas víctimas de violencia y con sobrevivientes de las escuelas residenciales para indígenas. Está comprometida a defender los derechos de las mujeres indígenas en las diversas instancias gubernamentales donde ella ocupa un sitio o posición. Al mismo tiempo, Viviane sensibiliza la población sobre estos temas a través de conferencias dadas por todo el Quebec.

Crédit photo : Femmes Autochtones du Québec

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Rosa Muriel Mestanza

Militante féministe péruvienne, doctorante en Sociologie et Genre au Laboratoire Changement Social et Politique (LCSP) et chargée de cours de sociologie à Paris Diderot. Sous la direction de Jules Falquet son travail interroge, à partir du cas de stérilisations massives de femmes autochtones au Pérou, les effets de ces dernières et les questions liées à la mondialisation. Ses recherches portent sur les rapports entre le contrôle du ventre des femmes et le néolibéralisme, les luttes de femmes autochtones et leur transmission.

Activista feminista peruana, estudiante en el doctorado de Sociología y Género en el Laboratorio de Cambio Social y Político (LCSP) e imparte clases de sociología en la Universidad Paris Diderot. Bajo la dirección de Jules Falquet, su trabajo cuestiona, desde el caso de la esterilización masiva de mujeres indígenas en el Perú, los efectos de este evento y los problemas relacionados con la globalización. Su investigación se centra en la relación entre el control del vientre de las mujeres y el neoliberalismo, las luchas de las mujeres indígenas y sus transmisiones.

Peruvian feminist activist, doctoral student in Sociology and Gender at the Social and Political Change Laboratory (LCSP) and sociology lecturer at Paris Diderot. Under the direction of Jules Falquet, her research questions, from the case of massive sterilization of Indigenous women in Peru, the effects of the latter as well as issues related to globalization. Her research focuses on the relationship between women's womb control and neoliberalism, Indigenous women's struggles and their transmission.

Crédit photo : Noria Kebiri

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Babbeyjane Happyjack

Babbeyjane is a health and fitness instructor as well as a childhood educator / day care technician. In 2009-2010, in order to battle postpartum weight gain and depression, she began her weight loss journey and dropped 90 pounds in 18 months. She has competed in Cree communities fitness competitions and participated in the Waswanipi Running club as well as in many marathons. She has also volunteered in workout program projects for women such as the Waswanipi women fitness club. After a pregnancy leave in 2017-2018, Babbeyjane is continuing her recovery road with postpartum training while balancing school, breastfeeding & physical activities.

Babbeyjane est une entraîneure physique ainsi qu'une éducatrice / technicienne de garderie. En 2009-2010, afin de lutter contre la prise de poids et dépression postpartum, elle a commencé son parcours de perte de poids et a perdu 90 livres en 18 mois. Elle a participé à des compétitions de conditionnement physique dans les communautés cries et au club de course Waswanipi, ainsi qu'à de nombreux marathons. Elle s’est également investie dans des projets d’entraînement physique pour femmes, comme le Waswanipi women fitness club. Après un congé de maternité en 2017-2018, Babbeyjane fait de l’entraînement postpartum tout en équilibrant ses études, l’allaitement et autres activités physiques.

Babbeyjane es una entrenadora física y una educadora/ trabajadora de cuidado infantil. En 2009-2010, para combatir el aumento de peso y la depresión posparto, comenzó su pérdida de peso y perdió 90 libras en 18 meses. Ha participado en competiciones de acondicionamiento físico en las comunidades Cree, en el Waswanipi Running Club, así como en muchos maratones. También ha participado en proyectos de entrenamiento físico para mujeres, como el Waswanipi women fitness club. Después de una licencia de maternidad en 2017-2018, Babbeyjane realiza ahora entrenamiento posparto mientras equilibra sus estudios, la lactancia y otras actividades físicas.

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Mawalum Amandine Galima

Mawalum Amandine Galima est née dans l'Ouest Guyanais à Saint Laurent du Maroni et a grandi à Awala-Yalimapo. Métisse élevée par sa mère, elle apprend grâce à sa grand-mère et tantes les coutumes de sa nation. Après avoir obtenu tout ce que la société moderne attend d'elle, elle ressent un manque qui s’installe, s’étant éloignée de ses origines pour pouvoir entrer dans les normes du monde moderne. Elle s'engage dans le militantisme aux côtés de la Jeunesse Autochtone de Guyane (JAG) pour faire respecter les droits des peuples autochtones. Amandine est également une jeune artiste ayant fait son premier vernissage dans la commune qui l'a vu grandir.

Mawalum Amandine Galima was born in western French Guiana at Saint Laurent du Maroni and grew up in Awala-Yalimapo. A Métis raised by her mother, she learned thanks to her grandmother and aunts the traditions of her nation. After having obtained all that modern society expected of her, she felt an emptiness inside, since she had distanced herself from her roots to be able to enter the norms of the modern world. She later began involved in activism alongside Guyana's Native Youth / Jeunesse Autochtone de Guyane (JAG) to uphold the rights of indigenous peoples in Guyana. Amandine is also a young artist who made her first vernissage in the town that saw her grow up.

Mawalum Amandine Galima nació en Guayana Francesa, en el oeste en Saint Laurent du Maroni y creció en Awala-Yalimapo. Mestiza, criada por su madre, aprendió gracias a su abuela y sus tías las costumbres de su nación. Después de haber obtenido todo lo que la sociedad moderna esperaba de ella, siente un vacío que se instala, ya que se había alejado de sus orígenes para poder entrar en las normas del mundo moderno. Ahí empieza el activismo junto con la Juventud Nativa de Guayana (JAG) para defender los derechos de los pueblos indígenas. Amandine también es una joven artista que hizo su primera exposición en el pueblo que la vio crecer.

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Audrey Pinsonneault

Audrey Pinsonneault est titulaire d’une maîtrise en anthropologie de l’ULaval (2012) et d’un baccalauréat en sciences sociales de l’UdeM (2005). Elle est également doctorante en sociologie à l’ULaval. Ses travaux de recherches portent sur la participation politique des femmes autochtones, les rapports ethniques entre Autochtones et non autochtones et les formes de souveraineté autochtones dans les communautés autochtones andines de Bolivie. Elle s’est jointe à l’équipe du Regroupement des centres d’amitié autochtones du Québec (RCAAQ) en 2018 où elle assure la coordination des projets de recherche pour et par les Autochtones des villes et est responsable des questions liées à l’éthique et la décolonisation de la recherche.

Audrey Pinsonneault holds a Master's degree in Anthropology from ULaval (2012) and a Bachelor's degree in Social Sciences from UdeM (2005). She is also a doctoral student in sociology at ULaval. Her research focuses on the political participation of Indigenous women, the ethnic relations between Indigenous and non-Indigenous people, and Indigenous forms of sovereignty in Andean Indigenous communities in Bolivia. She joined the team of the Regroupement des centers d'amitié autochtones du Québec / Native Friendship Centres Movement (RCAAQ) in 2018 where she coordinates research projects for and by urban Indigenous people and is responsible for ethical issues and decolonization of research.

Audrey Pinsonneault tiene una maestría en antropología de ULaval (2012) y una licenciatura en ciencias sociales de UdeM (2005). También es estudiante de doctorado en sociología en ULaval. Su investigación se centra en la participación política de las mujeres indígenas, las relaciones étnicas entre los pueblos indígenas y no indígenas y las formas indígenas de soberanía en las comunidades indígenas andinas en Bolivia. Se unió al equipo del Regroupement des centres d'amitié autochtones du Québec (RCAAQ) en 2018, donde coordina proyectos de investigación para y por gente indígena urbana y es responsable de cuestiones éticas y sobre la descolonización de la investigación.

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Carole Lévesque

Professeure titulaire à l’INRS, Carole Lévesque est anthropologue et travaille en étroite collaboration avec les instances autochtones du Québec depuis 45 ans. Ses travaux de coproduction des connaissances proposent une relecture des politiques publiques destinées aux Peuples autochtones. En 2001, elle a fondé Le réseau de recherche et de connaissances relatives aux peuples autochtones (DIALOG). En 2016, le gouvernement du Québec lui a remis le Prix Marie-Andrée-Bertrand qui reconnaît son rôle majeur dans la réconciliation avec les Peuples autochtones.

Professor at the INRS, Carole Lévesque is an anthropologist and has worked in close collaboration with Indigenous formal bodies and instances of Quebec for 45 years. Her work in knowledge co-production provide a rereading of public policies for Indigenous people. In 2001, she founded the Indigenous People Research and Knowledge Network (DIALOG). In 2016, the Québec government awarded her the Marie-Andrée-Bertrand Award, which recognizes her major role in reconciliation with Indigenous people.

Profesora del INRS, Carole Lévesque es antropóloga y ha trabajado en estrecha colaboración con varias instancias indígenas del Quebec durante 45 años. Sus trabajos de coproducción de conocimiento proponen una nueva lectura de las políticas públicas para los pueblos indígenas. En 2001, fundó la Red de Investigación y Conocimientos sobre los pueblos Indígenas (DIALOG). En 2016, el gobierno de Québec le otorgó el Premio Marie-Andrée-Bertrand, que reconoce su importante papel en la reconciliación con los pueblos indígenas.

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Donna Larivière

Donna Larivière, anishnabekwe (algonquine), est avant tout une femme autochtone vivant en milieu urbain dans la région de Québec. Elle vient de la région de l’Abitibi‑Témiscamingue et membre de la communauté Témiscaming First Nation. Depuis plusieurs années, elle milite pour la cause des peuples autochtones. Elle est notamment productrice et animatrice à l’émission « Voix Autochtones », participante au « Cercle Maniteshkueu » et représentante des femmes autochtones en milieu urbain de FAQ. Elle siège également sur le conseil d’administration du «Cercle des Outardes » et est présidente de la « Maison communautaire Missinak à Québec », organisme visant un milieu de référence pour les femmes autochtones victimes de violence désirant s'établir dans le milieu urbain. Depuis son jeune âge, elle a appris différentes techniques d’artisanat avec sa mère et continue d’exercer cette grande passion aujourd’hui.

Donna Larivière, anishnabekwe (Algonquin), is primarily an urban Indigenous woman living in the Quebec City area. She comes from the Abitibi-Témiscamingue region and is a member of the Témiscaming First Nation community. For several years, she has been campaigning for the cause of Indigenous peoples. She is a producer and host on the program "Voix autochtones", a participant in "Cercle Maniteshkueu" and a representative of urban Indigenous women in FAQ. She also sits on the Board of Directors of the "Circle of Outardes" and is President of the "Missinak Community House in Quebec City", an organization aiming for the development of a reference network for Indigenous women victims of violence wishing to settle in urban areas. From a young age, she learned various craft techniques with her mother and continues to exert this great passion today.

Donna Larivière, anishnabekwe (Algonquin), es principalmente una mujer indígena urbana que vive en el área de la ciudad de Quebec. Ella viene de la región de Abitibi-Témiscamingue y es miembro de la comunidad de la Primera Nación de Témiscaming. Desde hace años, se ha implicado por la causa de los pueblos indígenas. Es productora y presentadora del programa "Voix autochtones", participante en "Cercle Maniteshkueu" y representante de mujeres aborígenes urbanas en Preguntas frecuentes. También forma parte de la Junta de Directores del "Círculo de Outardes" y es Presidenta de la "Casa Comunitaria Missinak en la ciudad de Quebec", una organización que tiene el objetivo de desarrollar una red de referencia para las mujeres indígenas víctimas de violencia que desean establecerse en áreas urbanas. Desde que era joven, ha aprendido varias técnicas artesanales con su madre y continúa practicando esta gran pasión hoy.

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Eadsé

Eadsé, signifiant “Ma bonne amie” en Huron-Wendat, est une auteure-compositrice-interprète vivant à Montréal. Chantant avec passion et émotion, elle a un timbre unique qui révèle une sensibilité mais aussi de la force. Elle commence le chant tôt dans sa vie et apprend le piano classique dès l’âge de sept ans. Elle a fait plusieurs apparitions télévisuelles. On a pu la voir entre autres aux émissions « En direct de l’univers » (Chœur de femmes accompagnant Elisapie Isaac), « Le Rythme », « TAM » et « La clé du studio » (Florent Vollant). Le Rythme (Saison 1), qui a été diffusé sur APTN, a été un moment signifiant dans sa carrière. Avec Samian comme mentor, elle a eu la chance d’être en processus de création pendant deux mois avec 6 autres artistes autochtones et de créer un album en groupe. Elle a pu travailler avec plusieurs artistes de renom de l’industrie musicale comme Gilles Sioui, Elisapie Isaac, Pascale Picard, Alex Nevsky, Kaïn, Moe Clark, Saali Keelan, Caroline Savoie, Dany Bédard, Catherine Durand, Marc Déry et plusieurs autres. Eadsé travaille présentement sur son premier album.

Eadsé, meaning "My good friend" in Huron-Wyandot, is a singer-songwriter living in Montreal. Singing with passion and emotion, she has a unique vocal timbre that reveals a sensitivity but also strength. She began singing early in life and learned classical piano at the age of seven. She made several televised appearances. It was possible to see her on the programs "Live from the universe" (Women's choir accompanying Elisapie Isaac), "The Rhythm", "TAM" and "The key of the studio" (Florent Vollant). The Rhythm (Season 1), which aired on APTN, was a defining moment in her career. With Samian as a mentor, she had the chance to be in the creative process for two months with 6 other Indigenous artists and to create a group album. She has worked with several renowned artists from the music industry such as Gilles Sioui, Elisapie Isaac, Pascale Picard, Alex Nevsky, Kain, Moe Clark, Saali Keelan, Caroline Savoie, Dany Bedard, Catherine Durand, Marc Dery and many others. Eadesé is currently working on her first album.

Eadsé, que significa "Mi buena amiga" en Huron-Wyandot, es una cantante compositora que vive en Montreal. Cantando con pasión y emoción, tiene un timbre de voz único que revela sensibilidad, pero también fuerza. Ella comienza a cantar temprano en la vida y aprende piano clásico a la edad de siete años. Hizo varias apariciones televisadas. Se la ha podido ver en los programas "Live from the universe" (Coro de mujeres que acompaña a Elisapie Isaac), "The Rhythm", "TAM" y "The key of the studio" (Florent Vollant). The Rhythm (Temporada 1), que se emitió en APTN, fue un momento decisivo en su carrera. Con Samian como mentor, tuvo la oportunidad de estar en un proceso creativo durante dos meses con otros 6 artistas indígenas y crear un álbum grupal. Ha trabajado con varios artistas de renombre de la industria musical como Gilles Sioui, Elisapie Isaac, Pascale Picard, Alex Nevsky, Kain, Moe Clark, Saali Keelan, Caroline Savoie, Dany Bedard, Catherine Durand, Marc Dery y muchos otros. Eadesé está trabajando actualmente en su primer álbum.

Crédit photo: Olivia Sirois Photographie

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Anachnid

Femme du ciel qui tombe sur terre, Anachnid est une artiste multidisciplinaire Oji-Crie et Mi’gmaqbasée à Montréal. Son animal totem est une araignée bienveillante qui tisse sa toile pour y attraper les démons qui pourraient nuire aux siens. Grande gagnante du Prix 2019 de l’autrice-compositrice autochtone de l’année de la Fondation Socan grâce à son tout premier titre, Windigo, sa musique est un style hybride entre des influences contemporaines, indie, trap et électronique, et des sons traditionnels évocateurs de sa culture autochtone. À travers cette musique urbaine, métissée et complètement assumée, Anachnid espère inspirer les jeunes à exprimer ce qu’ils sont, peu importe les attentes et les stéréotypes dans lesquels ils peuvent évoluer.

A woman from heaven who falls on earth, Anachnid is an Oji-Cree and Mi'gmaqbasée multidisciplinary artist in Montreal. Her totem animal is a benevolent spider who weaves its web to catch demons that could harm his own kind. Winner of the Socan Foundation's Award for Indigenous Songwriter of the Year 2019 for her first title, Windigo, her music is a hybrid style between contemporary indie, trap and electronic influences and traditional sounds evocative of her indigenous culture. Through this urban music, mixed and completely assumed, Anachnid hopes to inspire young people to express what they are, regardless of the expectations and stereotypes in which they can evolve.

Anachnid, una mujer del cielo que cae en la tierra, es una artista multidisciplinaria Oji-Cree y Mi'gmaqbasée de Montreal. Su animal tótem es una araña benevolente que teje su red para atrapar demonios que podrían dañar a los de su especie. Ganadora del Premio de la Fundación Socan de Compositora Indígena del Año 2019 por su primer título, Windigo, su música es un estilo híbrido entre indie contemporánea, trap e influencias electrónicas y sonidos tradicionales que evocan su cultura indígena. A través de esta música urbana, mezclada y completamente asumida, Anachnid espera inspirar a los jóvenes a expresar lo que son, independientemente de las expectativas y los estereotipos en los que puedan evolucionar.

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Catherine Boivin

Jeune artiste multidisciplinaire atikamekw Catherine Boivin s’exprime autant par la vidéo et la photographie que par la sculpture, la peinture et la performance. Lauréate du prix Manitou-Kiuna 2018 remis par l’Institution Kiuna. Elle poursuit actuellement son baccalauréat en arts visuels et médiatiques à l’UQAM. Joggeuse et marathonienne, danseuse de Pow Wow et impliquée dans son milieu.

Young multidisciplinary Atikamekw artist Catherine Boivin expresses herself as much in video and photography as in sculpture, painting and performance. Laureate of the 2018 Manitou-Kiuna Prize awarded by the Kiuna Institution. She is currently pursuing a Bachelor's degree in Visual and Media Arts at UQAM. Jogger and marathoner, Pow Wow dancer, she is very involved in her community.

La joven artista multidisciplinaria de Atikamekw, Catherine Boivin, se expresa tanto en video y fotografía como en escultura, pintura y performance. Laureada del Premio Manitou-Kiuna 2018 otorgado por la Institución Kiuna. Actualmente está haciendo una licenciatura en Artes Visuales y Mediáticos en la UQAM. Corredora y maratonista, bailarina Pow Wow, Catherine es muy involucrada en su comunidad.

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Melissa Mollen Dupuis

Melissa Mollen Dupuis est originaire d'Ekuanitshit sur la Côte-Nord. Après un long parcours professionnel durant lequel elle a partagé la richesse de sa culture innue au public, elle donne souffle en 2012, avec Widia Larivière, à la branche québécoise du mouvement Idle No More. En 2014, elle est nommée présidente du conseil d'administration du Wapikoni mobile et en 2017, elle reçoit le prix Ambassadeur de la Conscience d'Amnistie Internationale Canada aux côtés de cinq autres personnalités du mouvement des peuples autochtones du Canada et d'Alicia Keys. Depuis 2018, elle est responsable de la campagne Forêts menée par la Fondation David Suzuki.

Melissa Mollen Dupuis is from Ekuanitshit on the North Shore. After a long professional career during which she shared the richness of her Innu culture to the public, she gave breath in 2012, with Widia Larivière, to the Quebec branch of the Idle No More movement. In 2014, she was named Chair of Wapikoni Mobile's Board of Directors and in 2017, she received the Ambassador of Conscience award of Amnesty International alongside five other personalities from the Indigenous Peoples Movement of Canada as well as with Alicia Keys. Since 2018 she has been responsible for the David Suzuki Foundation Forests Campaign.

Melissa Mollen Dupuis es de Ekuanitshit en la costa norte. Después de una larga carrera profesional durante la cual compartió la riqueza de su cultura Innu al público, dio aliento en 2012, con Widia Larivière, a la rama de Quebec del movimiento Idle No More. En 2014, fue nombrada Presidenta de la Junta de Directores de Wapikoni Mobile y en 2017 recibió el Premio Embajadora de la Conciencia de Amnistía Internacional junto con otras cinco personalidades del movimiento de los pueblos Indígenas de Canadá y con Alicia Keys. Desde 2018 es responsable de la campaña de bosques de la Fundación David Suzuki.

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Odile Joannette

Odile Joannette œuvre depuis près de vingt ans à la défense et à la promotion des droits des peuples autochtones ainsi qu’à l’amélioration de leurs conditions de vie. Elle a siégé au conseil de l’Ordre de Montréal de 2017 à 2019 ainsi que sur la Table sur la diversité, l’inclusion et la lutte contre les discriminations. Diplômée de l’ UQAM | Université du Québec à Montréal, spécialisée en communications, relations publiques, elle s’implique en 2002 dans le mouvement des femmes autochtones du Québec. Elle a été à la direction des partenariats et des communications au sein de la Commission responsable du développement des ressources humaines, de l’emploi et de la formation pour l’Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador avant d’accepter la directrice générale du Wapikoni mobile.

Odile Joannette has been working for almost twenty years to defend and promote the rights of indigenous peoples and to improve their living conditions. She has served on the Board of the Order of Montreal from 2017 to 2019 and on the Table on Diversity, Inclusion and the Fight Against Discrimination. A graduate of UQAM, specialized in communications and public relations, she became involved in 2002 in the Quebec Indigenous women's movement. She was Director of Partnerships and Communications at the Commission for Human Resources Development, Employment and Training for the Assembly of First Nations Quebec-Labrador before accepting to be Executive Director of Wapikoni mobile.

Odile Joannette ha trabajado durante casi veinte años para defender y promover los derechos de los pueblos indígenas y mejorar sus condiciones de vida. Ha sido miembro de la Junta de la Orden de Montreal de 2017 a 2019 y de la Mesa de Diversidad, Inclusión y Lucha contra la Discriminación. Graduada de la UQAM, especializada en comunicaciones y relaciones públicas, se involucró en 2002 en el Movimiento de Mujeres Indígenas de Quebec. Fue Directora de Alianzas y Comunicaciones en la Comisión de Desarrollo de Recursos Humanos, Empleo y Capacitación para la Asamblea de Primeras Naciones Quebec-Labrador antes de aceptar el puesto de Directora Ejecutiva de Wapikoni mobile.